Burns Day 2001 – Histoire

Aug 15, 2001

Le coup de fil
Jeudi 09 août 2001, coup de fil de David,( ça devait faire 2 semaines qu’on essayait de s’appeler, pour mettre au point le départ ):
– David : Alors tu viens ce WE ?
– Moi : Euh nan je pourrais pas j’ai plein de boulot et j’ai pris ni mon lundi ni mon mardi !
– Ouais mais nous on avait prévu de remonter Dimanche soir !!
– Ah ça change tout , ok je viens, on part à quelle heure ?
– Ben là je suis en train de refaire ma distribution mais je devrais avoir finis ce soir…

Donc déjà ça commence bien ! On va faire environ 2000 bornes dans le WE et David refait lui-même la distribution de son YZF 750 chose qu’il n’avait jamais faite avant bien entendu !! On à tous quelques doutes mais bon…

C’est bô un moteur d’YZF 😉
J’arrive à Vierzon le Vendredi soir, le moteur de l’YZF tout démonté, on aurait dis une épave!

David confiant, “t’inquiete ca va aller vite maintenant”, “Ah bon ?” il était 21H30.
Moi nullissime en mécanique, j’arrete pas de lui poser des question :
– “C’est koi ça c’est la boite à air ?”
– “Ah non, ça c’est le démarreur..”
– “Et ce tuyau là il sert a koi ?”
– “Ben a rien c’est une mise à l’air libre !”
– “Et celui là ?”
– “Pareil…”
– “Et ce fil là pourquoi il est relié a rien..”
– “Putain t’es vraiment nul, passe moi une clef dynamometrique au lieu de poser des question débiles !”
– “Euh avec ou sans sucre ?”
Bref un bon moment et finalement à 4H du mat on finit de remonter à moitié le bousin, qui démarre, à notre grand étonnement quoique certain
puisse dire…

C’est toujours bô un moteur d’YZF 😉

Samedi matin 9H30, nuit un peu trop courte avec un chien qui ronflait, ok j’aurais pu le réveiller mais un Rotweller de 65 kilo que tu connais pas, meme s’il a l’air gentil tu le laisse ronfler (si si) !
Donc tout le monde debout, petit dej et on doit finir de tout remonter sur l’YZF !
Jean-Claude (CBR 900) arrive sur le coup des 10H30, à la base on devait passer le prendre chez lui vers les 10H :
– “Alors on y va bande de tafioles ?”
– “Ben on finit de remonter le tout et c’est bon !”.
Bref 2 heures plus tard on démarre le TRX et le CBR avé le bouton qui marche, mais on est obligés de pousser l’YZF qui semblait s’etre déchargé pendant la nuit!
Ca promet mais bon on fait le plein et direction l’autoroute !

Le plein siou plait
Autoroute A71, je peine méchament avec le TRX qui depuis que j’ai enlevé une dent au pignon avant à perdu 10 Km/h en vitesse de pointe alors que l’YZF et le CBR roulent quasi pépère ! Au bout de 1H et 177
kilometres on s’arrete pour le premier arrêt essence.
Voici les scores :
TRX = 14.67 litres
YZF = 15.53 litres
CBR = 12.35 litres
Résultat: Jean-Claude trouve que les yam c’est de la merde, que ça consomme à mort, et que ce sont des motos de tafioles qui n’avancent pas (oui-oui, il utilise ce terme toutes les deux phrases) et que ça pue de partout.
Bon donc deux Yam contre une Honda, y en a un qui va se faire pourrir, du coup diplomate on le laisse dire mais un violent désir de pourrissage commence à naître (on verra plus tard que le seul probleme de ce WE viendra du CBR).
Bon, plus loin on prend la sortie vers Brioude et on enquille les petite route en direction du Puy.

Pose déjeuner
On s’arrete, sur le coup des 4H histoire de dejeuner un peu, dans un petit resto au milieu de nulle part sur le bord de la route. On commande des pizzas, et forcement celle de Jean-Claude est pas assez chaude, l’oeuf est pas assez cuit, j’en passe et des meilleures!
Apres mûre reflexion ça devaient probablement etre des pizzas de tafioles encore 😉
Bref, bonne bouffe quand même, et pendant que les bécanes se reposent au soleil on prépare un plan d’attaque pour savoir quelle route on va prendre car on n’est pas en avance, (voir C’est bô un moteur d’YZF ;-))

Premier virolos
On continue notre route en direction du Puy par une grande nationale sans intérêt et au moment ou ca commence à devenir limite chiant, on se retrouve sur une route ou la ligne droite la plus longue ne depasse que rarement les 200 metres avec entre chaque, des épingles à cheveux.
Et là on rigole un peu plus, surtout que la situation s’inverse completement. Alors que sur l’autoroute le 900 cbr était à la fete, David et moi commençons à nous sentir nettement plus à l’aise.
D’autant plus a l’aise que le bougre en CBR prétextait que depuis qu’il avait fait poser un monobra de VFR (reforcé en plus !) le CBR était un peu flou et pas sûr du tout quand ca penche ! Bref l’excuse à deux balles que personne ne peut croire une seule seconde.
C’est dans cette partie sinueuse que je me suis vraiment aperçu du bienfait du stage de pilotage, c’est simple c’est comme avant le stage sauf que tu vas beaucoup plus vite (nettement) avec une marge de sécutité 20 fois supérieure !

Les plaquettes de freins
Donc pendant ces quelques virages Jean-Claude s’aperçoit que ses freins à l’avant font un drole de bruit, on s’arrete en bas des virages devant un concessionnaire Yamaha (héhé) car apres avoir regardé ses plaquettes on s’est dit qu’il valait mieux les changer. Il ne restait sur la plaquette avant gauche qu’un peu moins de 0.3 micron sur la moitié du quart de la surface du disque (rien pour ceux qui sont perdus).
Donc on entre dans la concession et on demande s’ils n’ont pas par hazard des plaquettes de 900 CBR ?
Coup de bol il leur reste un jeu mais l’atelier est fermé donc on y va nous meme (j’avoue avoir plus regardé qu’aidé mais j’aurais probablement géné).
Manque d’outils adaptés le concessionnaire nous prete ce qu’il faut, un gars hyper sympa avec qui on discute ensuite une bonne demi-heure.
Puis arrive sur le parking 3 jeunes en mob-scoot-cross qui file droit sur la 900 CBR et qui demandent à Jean-Claude s’il sait faire des roues avant.
Lui sûr de lui: “Ben j’ai un supermotard aussi donc les roues c’est pas un probleme”.
Du coup le jeune en cross lui prete et lui demande une démo (il a pas peur le gars !!), Jean-Claude monte sur le tas de feraille essaye de faire une roue arrive péniblement à soulever la roue avant de 2 ou 3 centimetres au bout de 3 ou 4 essais et lui rends avec des excuses du style
“Putain ton embrayage il est merdique….ca pousse pas” etc..
David et moi on est mort de rire dans notre coin tandis que Jean-Claude vit un tres grand moment de solitude !

Une Ford K et un R1
Apres ce changement de plaquette, on repart aux alentours de 18H30.
On commence a rouler un peu histoire de gagner du temps parceque là on est clairement a la bourre vu que seulement la moitié du chemin est faite.
Donc on se rapproche de Montélimar histoire de reprendre l’autoroute pour tracer jusqu’a Toulon pour y trouver un hotel, et en plein milieu
d’un patelin à un feu rouge JC se fait bouffer au démarage par une Ford K conduite par une donzelle au deumeurant fort jolie, comme koi les 900 CBR c’est vraiment des motos de tafioles.
Un peu plus tard sur autoroute on croise un R1 avec qui on commence à jouer et qui s’arrete intantanement, on le retrouve à la station essence suivante : au moment ou il nous doublait, il passait en reserve !! Les R1 c’est vraiment des motos de tafioles à conclu Jean-Claude pour changer !
Apparement le gars allait à Monaco m’enfin on s’est quand meme marré quand on a vu son pneu avec 3 centimetres non usé de chaque côté, encore un gars qui fait que des lignes droites…

L’accident
Bon, donc vers les 22H on arrive à Toulon histoire de trouver un hotel, et au bout de 1H de porte d’hotel à porte d’autre hotel on se retrouve dans une zone commerciale ou une 125 venait de se faire renverser, il roulait sans feux (23H) et une voiture l’a percuté, apparement le conducteur et sa passagere son vivants mais dans un sale état.
La soirée commence bien, au moins ça pose l’ambiance.
Du coup on en profite pour prendre de koi bouffer au Mac Do et là on tombe sur un gars en 900 CBR toute neuve de partout qui va lui aussi aux burns day avec sa copine. Truc marrant il venait de se faire flasher par derriere à Coignere (78) à 240 au lieu de 90, nous sympas on a décidé de le rassurer:
– “Putain 240 ! T’es mal là! J’espere qu’au moins la photos sera réussie !”
– “240 oh si t’enleve 10 Km/h d’exageration du compteur -5 % de marge d’erreur ca fait que 220Km/h soit juste 130 km/h de trop, t’auras rien
t’inquiete ;-)”
– “Tu peux la revendre direct ta brele de nain et acheter des rollers !!”
Y a pas de doute la solidarité motarde ça réchauffe le coeur…

Une nuit étoilé
Apres tout ca on se dirige vers le circuit du Luc en se disant que dormir à la belle étoile c’était bien finalement.
Vers minuit on trouve un coin sympa en retrait de la route à côté d’un champs de vigne. On se pose là on cale les motos, et on sort les duvets.
Jusque là tout est parfait, on regarde le ciel étoilé avec plein d’étoile filante, c’est bô!
Au moment ou on allait s’endormir on entend passer un train à fond la caisse juste derriere nous, on s’était installé à moins de 100 metres de la ligne du TGV, trop tard pour changer de place, tant pis il passe toutes les demi-heures mais on est trop crevé pour bouger et meme pour l’entendre.
Petit coup de paranoïa avant de s’endormir les questions fusent :
– “Putain j’espere que je suis pas sur une fourmiliere !”
Je voyais d’ici l’horreur, réveil couvert de foumis rouge, impossible de se reconnaitre tellement on est recouvert de bouton, un bras en moins bouffé par les bestioles, et l’horreur supreme :
les pneus crevé par un crabe en colère ! Brr Ca fait froid dans le dos !
Heureusement le lendemain matin arrive, réveil douloureux avec le dos en compote mais avec un peu de raisin (juste 2 ou 3 hectare) pas assez mûr histoire de se mettre en appetit.
Bref direction le premier bled pour un petit déjeuner.

Le circuit du Luc
On arrive le Dimanche sur le circuit du Luc vers les 11H et on se trouve une place en bout de piste, bien mais pas top. Puis on profite de la pose de midi pour piquer les meilleures places en milieu de piste ou l’action bat son plein nickel pour prendre quelques photos.
L’ambiance est excelente, tres loin de ce que l’on peut trouver au Mans ou au Bol, pas de gars bourré tous les 2 mêtres, bonne organisation, chaude ambiance, temps parfait le pied absolu !
Le spectacle commence.

J’sais plus qui
Au programme “J’sais plus qui” sur CBR 900 entre autre, et là c’est un spectacle hallucinant, ce gars là à une hargne et un contact avec le public hors pair, il est partout en meme temps sur la piste, et à la fin devant nous (pile poil en face, à moins de 5 metres) demi-tour sur le pneu avant, burn jusqu’a explosion du pneu, il jete le CBR par terre et monte dessus, devant une foule en delire, un très très très grand moment !
Allez voir de plus pres la section photos pour admirer son talent !

Men In Bikes
Après “J’sais plus qui” arrivent l’equipe des MIB, qui nous gratifient de très belles acrobaties, roues arrieres à plus de 200, burns, roues avant…
Ils sont pas mauvais ces petits gars, mais Jean-Claude ne peut pas s’empecher de les traiter de tafioles en short histoire de placer sa réplique favorite une fois de plus!

Craig Jones
Alors là, gros coup de geule, Craig Jones qui est sensé etre LA reference du Stunt en Europe à fait un show de merde, il s’est fait huer par le public, il n’était nulle part, à reclamé pendant 5 minutes son scoooooter:
– “I want my scooter!…Where is my scooooter ???… Hey machin bring me my scooooottteeeerrrr” !!
et une fois sur son scoooooter de merrrrrrde il a fait des aller et retour sur la piste avec !
“Une super grosse tafiole ce Craig Jones”, et pour une fois c’est David qui le dit c’est pour dire !!
J’espere vraiment que l’année prochaine “J’sais plus qui” pourra venir et que Craig Jones resteras chez lui a faire du scooooter de meeeeeerrrrrrrrrdddddddeeeeeeee, il m’a vraiment énervé ce con avec ses Buell et son scooooter !!
A TOUTE L’EQUIPE DE MOTO ET MOTARDS : PAR PITIE NE DEMANDEZ PLUS A CE CON DE VENIR, IL FAIT SON SHOW COMME SI IL N’Y AVAIT QUE LES GRADINS, LE RESTE IL S’EN FOUT ET HOP IL REPART EN SCOOTER APRES S’ETRE FAIT HUE !!

La plage de la londe
Bon ben apres le show on se casse direction la plage le plus proche, on s’arrete demander notre chemin à un patron de bar belge qui se chamaille avec un client pour déterminer ou est la plage la plus proche, avec des répliques digne de Marcel Pagnol, il aurait fallu un micro histoire de tout enregistrer tellement c’était bon!
Arrivé sur la plage petit bain et resto sur la plage, puis direction l’hotel Formule 1 d’Avignon ou on avait réservé une chambre.
En refaisant le plein sur l’autoroute on tombe sur une voiture de flic avec radar arrètée à la même station essence que nous, on regarde le mécanisme de près, et on parle un peu avec le chef. Ils ont une petite caméra pour le passager qui lui permet de voir tout ce qui se passe derrière la voiture, c’est marrant. Le chef nous dit que les petites plaques motos même avec un flash arrière c’est pas bien lisible, on doute un peu quand même !
Puis il nous parle de ses souvenirs de moto et d’Agostini sur le circuit de Charade près de Clermond-Ferrand, mais on est un peu trop jeune pour avoir connu ! On les quite en leur disant qu’il nous reste 90 kilometres de route jusqu’a avgnon et qu’on veut etre couché dans moins de 15 minutes 😉

Une porsche avant l’ardèche
Lundi matin on part d’Avignon et à un feu rouge, on se retrouve à côté d’un type très sympa en porsche que Jean-Claude chauffe un peu histoire de se réveiller et le gars nous dit que tant qu’il ne passe pas la 4eme, il se fait boufffer par les motos mais qu’après c’est autre chose !!
Bref, on se retrouve tous les 4 sur la rocade (CBR 900, YZF 750 , Porsche 911 et TRX 850 ) histoire de se tirer la bourre. La porsche passe devant et on la colle, personnellement, je suis limité à 215 après c’est la zone rouge ! Mais jusqu’à cette limite, le TRX la tenait sans probleme, j’ai du relacher un peu les gazzz vers les 150-160 pour pas lui rentrer dans le cul !
David se fait une frayeur sur un raccord de bitume et nous laisse partir un peu. Jean-Claude monte vers les 230 avec la porsche puis arrive à un rond point point ou on voit le type heureux ! A mon avis il en parle encore à ses petits enfants ;-).
On quitte le gars et on rejoint la route des gorges de l’ardèche, une route somptueuse qui domine l’ardèche (non ? pas possible !!), et on se retrouve sur une petite route avec aucunne ligne droite de plus de 4 metres (eh non je suis pas de Marseilleuh !), et en contrebas des cayacs de la taille d’une fourmi. C’est vraiment un trajet à faire si vous passez dans le coin !

Séance photos
Après on s’arrete dans un bled histoire d’acheter des saussissons et déjeuner.
Puis un peu plus loin on se trouve un beau virage histoire de se prendre en photo tour à tour.
Là on s’aperçoit que Jean-Claude est bien refroidit apres s’etre fait deux grosses frayeur de suite en sortant beaucoup trop large de deux virages, heureusement que personne n’arrivait en face !
Du coup je suis le premier à me lancer dans la séance de photos style revue moto!
David se transforme donc en photographe proffessionnel, je passe deux trois fois histoire de me caler et hop, on attaque un peu pour faire le kakou qui se la pète.
Ensuite c’est au tour de Jean-Claude qui hésite à mort :
– “Heu, finalement je suis un peu fatigé là, vas-y d’abord David !”
– “Non je suis pret a prendre les photos, je vais pas me rhabiller pour tout enlever après !”
– “Ouais mais…j’le sens pas bien ce virage…mes pneus sont bizzarre…mon monobras semble faiblar….”
Bref plein d’excuse à deux balles, il y va quand même mais les deux frayeurs l’ont bien calmé et c’est pas plus mal car il est du style à ne jamais se dire “STOP !! C’est bon là j’me suis amusé maintenant j’y vais molo !”
Donc il fait ses 2, 3 passages et commence à y prendre goût ! Il ne va pas arréter de faire des passages style : “Attends, je le refais une fois j’étais pas bien là !!” et comme chaque passage est long, le temps de laisser passer les voitures, attendre qu’il n’y ait personne…Ca prend du temps
Bon il décide de mettre un terme à sa carrière de pilote et c’est au tour de David de se lancer sur la piste, eeuuhh….la route voulais-je dire ;-).
Là bizarrement David passe beaucoup moins vite que ce qu’il fait vraiment quand il roule, incapable de faire ce qu’il sait faire sur commande !! Pour dire il y va aussi vite que Jean-Claude (qui est un adepte des lignes droites). Il fait ses passages et là je flippe à mort :
– “Faut pas que je foire les photos, Faut pas que je foire les photos…”
Parceque le David c’est plutot un bô bébé (95 Kilo) qui fait du kickboxing alors c’est comme son chien faut pas l’énerver, (au moment ou j’écris ces lignes, les photos ne sont pas encore developpées, mon Dieu qui êtes sur la piste, priez pour moi!).
Finalement on reprend la route vers les 16H30, direction Clermond-Ferrand pour tracer ensuite vers Vierzon.

La discorde
Au bout d’une demi-heure de route on s’apperçoit que Jean-Claude trace un peu vite après ces deux journée fatigante et sans aucun accident. Du coup coup de geule de David qui dit clairement que ceux qui veulent tracer, tracent maisque lui il veut rouler à son rythme, parceque ce serait con de se planter maintenant!
Jean-Claude décide de tracer, je reste avec David car je suis plutot de son avis dans ce cas là !

Les adieux !
On repars tous les deux direction Brioude ou l’on prend l’autoroute.
Un dernier plein puis on se fait des adieux déchirant sur l’autoroute au niveau de Vierzon mon TRX en pleurait,et ….. Bref on se fait un signe et je me casse vers Paris ou une faois dans le garage de la mairie (eh oui, j’ai pas la place dans mon 29 M² !) je regarde longuement miss TRiXie en lui assurant que c’était la plus belle moto du monde, et que ce WE elle allait etre astiquée même dans les recoin les mieux cachés car là apres plus de 2300 sans rechigner, elle l’a bien méritée.

Ju

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